Au moins 6 raisons pour ne pas porter de masque

Ce masque vous donne-t-il le cancer du poumon ? Il est criminel d’obliger les enfants à porter des masques toute la journée

Ce qui est imposé aux employés et aux enseignants et étudiants est parfaitement monstrueux !
La santé physique et mentale est compromise par le port durant des heures d'un masque aussi inutile que nuisible...

L'usage des masques est dangereux et cancérigène

Des réactions biochimiques se produisent dans les poumons avec le frein du masque, lors de l'inspiration et de l'expiration. Dans une atmosphère plus humide et davantage chargée en carbone, des composés tels que le formaldéhyde et autres COV apparaissent. Les seuils critiques sont dépassés en une dizaine de secondes. Masquer la population aujourd'hui, en septembre 2020, est non seulement anxiogène, mais est aussi porteur de risques sanitaires à long terme..

Policiers en colère contre l'obligation du port du masque
Maître Carlo Brusa

Dr Patrick Bellier, pneumologue, contre le port du masque

Quand Macron manque de s’étouffer devant des lycéens...
à cause de son masque

À vous de juger et d'analyser ses gestes barrières, il ne tousse pas dans son coude mais dans ses mains en face des jeunes, ensuite il retire le masque et le transmet à une personne puis prend le verre à la personne et lui redonne et finit par remettre son nouveau masque avec les mains. Aucune hygiène ni gestes barrières tel que le gouvernement l'oblige aux Français. Donc enlèvement du masque en public dans une zone confinée ! L’amende est de 135 €.
Il prouve ainsi qu’un professeur ne peut pas faire un cours avec un masque ! Et dire qu’une gamine n’a pas eu le droit de baisser son masque pour se moucher… Ce pantin est décidément pathétique !

Aberration et dangers du port du masque

C'est écrit sur la boîte

De l'inefficacité des masques

Professeur Desuter : Les enseignants masqués risquent des lésions des cordes vocales avec des séquelles permanentes

Le port obligatoire du masque pour les enfants, c’est de la maltraitance !

Le docteur Roberto Petrella lance un avertissement concernant les tests et la vaccination

Lorsque les chirurgiens, lors des opérations, ne portent pas de masque...

Au lieu de reconnaître les dommages causés par les ondes radio, la société se déchire en instituant des mesures qui ne protègent personne et qui, au contraire, rendent les gens malades et les tuent. Je ne mentionnerai ici qu'une seule de ces mesures: les masques.
Ayant fait des études de médecine, j'ai été choqué lorsque j'ai lu l'étude de Neil Orr, publiée en 1981 dans les Annales du Collège royal des chirurgiens d'Angleterre. Le Dr Orr était chirurgien à l'unité chirurgicale de Severalls à Colchester. Et pendant six mois, de mars à août 1980, les chirurgiens et le personnel de cette unité ont décidé de voir ce qui se passerait s'ils ne portaient pas de masque pendant les opérations. Ils n'ont porté aucun masque pendant six mois et ont comparé le taux d'infection des plaies chirurgicales de mars à août 1980 au taux d'infection des plaies de mars à août des quatre années précédentes.
Et ils ont découvert, à leur grand étonnement, que lorsque personne ne portait de masque pendant les opérations, le taux d'infection des plaies était inférieur de moitié à ce qu'il était lorsque tout le monde portait un masque. Leur conclusion: "Il semblerait qu'une contamination minimale puisse être obtenue au mieux en ne portant pas de masque du tout" et que le port d'un masque lors d'une opération chirurgicale "est une procédure standard qui pourrait être abandonnée".
J'ai tellement été étonné que j'ai parcouru la littérature médicale, sûr que c'était un coup de chance et que les nouvelles études doivent montrer l'utilité des masques pour prévenir la propagation des maladies. Mais, à ma grande surprise, la littérature médicale des quarante-cinq dernières années est cohérente: les masques sont inutiles pour prévenir la propagation des maladies et, au contraire, sont des objets insalubres, qui propagent eux-mêmes des bactéries et des virus.
En 1975, Ritter et al. ont constaté que "le port d'un masque chirurgical n'avait aucun effet sur la contamination environnementale globale de la salle d'opération".
Ha'eri et Wiley, en 1980, ont appliqué des microsphères d'albumine humaine à l'intérieur de masques chirurgicaux au cours de 20 opérations. À la fin de chaque opération, les lavages de plaies étaient examinés au microscope. "La contamination de la plaie par des particules a été démontrée dans toutes les expériences."
Laslett et Sabin, en 1989, ont découvert que les capuchons et les masques ne sont pas nécessaires lors du cathétérisme cardiaque. "Aucune infection n'a été trouvée chez aucun patient, qu'un capuchon ou un masque ait été utilisé", ont-ils écrit. Sjøl et Kelbaek sont arrivés à la même conclusion en 2002.
Dans l'étude de Tunevall de 1991, une équipe de chirurgie générale n'a porté aucun masque pendant deux ans dans la moitié de ses opérations. Après 1 537 opérations réalisées avec des masques, le taux d'infection des plaies était de 4,7 %, tandis qu'après 1 551 opérations réalisées sans masque, le taux d'infection des plaies n'était que de 3,5 %.
Une étude réalisée par Skinner et Sutton en 2001 a conclu que "les preuves en faveur de l'arrêt de l'utilisation des masques chirurgicaux semblent plus solides que les preuves disponibles pour soutenir leur utilisation continue".
En 2001, Lahme et al. ont écrit que "Les masques chirurgicaux portés par les patients lors d'une anesthésie régionale n'ont pas réduit la concentration de bactéries aéroportées sur le champ opératoire dans notre étude. Ils sont donc inutiles".
En 2001, Figueiredo et al. ont rapporté qu'en cinq ans de dialyse péritonéale sans masque, les taux de péritonite dans leur unité n'étaient pas différents de ceux des hôpitaux où les masques étaient portés.
Bahli a effectué une revue systématique de la littérature en 2009 et a constaté que "aucune différence significative dans l'incidence de l'infection des plaies postopératoires n'a été observée entre les groupes portant des masques et les groupes opérés sans masque".
Les chirurgiens de l'Institut Karolinska en Suède, reconnaissant le manque de preuves en faveur du port de masques, ont cessé de les exiger en 2010 pour les anesthésiologistes et autres personnels non masqués en salle d'opération. "Notre décision de ne plus exiger de masques chirurgicaux de routine pour le personnel non opéré est une entorse à la pratique courante. Mais les preuves à l'appui de cette pratique n'existent pas", a écrit le Dr Eva Sellden.
En 2010, Webster et al. ont fait état de chirurgies obstétriques, gynécologiques, générales, orthopédiques, mammaires et urologiques pratiquées sur 827 patients. Tout le personnel non gynécologue portait un masque dans la moitié des opérations, et aucun des membres du personnel non gynécologue ne portait de masque dans la moitié des opérations. Des infections du site opératoire sont survenues dans 11,5 % des cas pour le groupe "Masques" et dans seulement 9 % des cas pour le groupe "Sans masque".
Lipp et Edwards ont passé en revue la littérature chirurgicale en 2014 et n'ont trouvé "aucune différence statistiquement significative dans les taux d'infection entre le groupe masqué et le groupe non masqué dans aucun des essais". Vincent et Edwards ont mis à jour cette revue en 2016 et la conclusion est la même.
Carøe, dans une revue de 2014 basée sur quatre études et 6 006 patients, a écrit qu'"aucune des quatre études n'a trouvé de différence dans le nombre d'infections postopératoires, que vous ayez utilisé un masque chirurgical ou non".
Salassa et Swiontkowski, en 2014, ont étudié la nécessité des blouses, des masques et des couvre-chefs dans la salle d'opération et ont conclu que "rien ne prouve que ces mesures réduisent la prévalence des infections du site chirurgical".
Da Zhou et al, en examinant la littérature en 2015, ont conclu qu'"il y a un manque de preuves substantielles pour soutenir les allégations selon lesquelles les masques protègent soit le patient soit le chirurgien de la contamination infectieuse".
En Chine, les écoles interdisent désormais aux étudiants de porter des masques pendant l'exercice physique. Pourquoi? Parce que cela les tuait. Il les privait d'oxygène et les tuait. Au moins trois enfants sont morts pendant les cours d'éducation physique, dont deux en courant sur la piste de leur école, alors qu'ils portaient un masque. Et un homme de 26 ans a souffert d'un collapsus pulmonaire après avoir couru deux miles et demi en portant un masque.
L'obligation de porter un masque n'a fait baisser le taux de mortalité nulle part. Les 20 États américains qui n'ont jamais ordonné aux gens de porter un masque à l'intérieur et à l'extérieur ont des taux de mortalité COVID-19 nettement inférieurs à ceux des 30 États qui ont rendu le port du masque obligatoire. La plupart des États sans masque ont un taux de mortalité COVID-19 inférieur à 20 pour 100 000 habitants, et aucun n'a un taux de mortalité supérieur à 55. Les 13 États qui ont un taux de mortalité supérieur à 55 sont des États qui ont imposé le port de masques dans tous les lieux publics. Il ne les a pas protégés.
Références scientifiques de certaines des études mentionnées dans l'article ci-dessus, recherchées et trouvées, notamment sur le site scientifique bien connu "Pubmed".